MCI - Marketing Commerce sur Internet - e-Marketing

La puce RFID

LA PUCE RFID se présente comme ceci.

Mais que veut dire puce RFID et quel est son fonctionnement?

Nous avons sélectionné pour vous une définition sur le journaldunet.

Cette petite puce électronique risque bien de faire des merveilles dans les années futures. Ce composant de la taille d'un grain de riz est en quelque sorte le digne remplaçant de l'antique code-barre. Avec lui, faire ses courses sans vider son caddie à la caisse est désormais possible. La puce électronique positionnée sur le produit s'identifie sans fil et ce, à quelques mètres de distance. La technologie est assez simple et promet des usages sans limites.

• La RFID: espoirs et appréhensions

L'utilisation de cette nouvelle technologie trouve bien des avantages et peut être mise en place très rapidement.
Les promoteurs des RFID envisagent de placer des étiquettes intelligentes sur des supports très variés:
- dans la gestion de la chaîne logistique, tous les niveaux d'emballage sont concernés: containers, palettes, cartons et articles eux-mêmes
- les billets de banque, cartes de crédit, téléphones portables...pour un paiement sans contact
- les animaux domestiques
- les péages
- les bagages
-...

De nombreux projets en rapport avec la RFID ont été déployés au niveau mondial. Pour avoir une idée des différents projets en Europe et dans le Monde, rendez-vous sur le journaldunet.

Cependant, cette technologie d'avenir n'est pas du goût des utilisateurs directs, méfiants vis à vis de leur vie privée. Avec des sociétés américaines décidant d'implanter des puces dans le corps de leurs employés, la surveillance active et informatisée suscite des interrogations.

• Le marché de la RFID (chiffres recueillis auprès de l'institut In-stat)

2004: 300 millions de dollars
2005: 504 millions de dollars
2009: 2.8 milliards de dollars
2010: 3 milliards de dollars

• Quels changements pour l'entreprise?

L'impact de l'utilisation de la RFID sur les réseaux d'entrperise sera significatif non seulement en raison du nombre de tags (étiquettes) implantés sur les produits mais surtout du fait de la quantité de données que chaque tag contient.

La RFID va impacter sur le trafic de l'entreprise (avec l'évolution du transit de l'information à travers l'organisation) et sur sa conception (évolution des composants et des équipements réseaux)

L'important pour l'entreprise est de bien savoir créer la valeur ajoutée des informations recueillies par le lecteur.

• La puce RFID bientôt déployée?

Il faut savoir qu'en 2004, 75% des entreprises n'étaient pas intéressées par l'identification par radio-fréquence.
Promise à des taux de croissance fulgurants, la technologie RFID ne devrait passer en phase industrielle qu'en 2006, prioritairement dans les secteurs de la logistique et des flux de marchandises.

• Exemple de VISA

www.visa.com

Après MasterCard et AMerican Express, le groupe VISA s'est lancé dans la mise en place d'une carte de paiement intégrant la technologie RFID.

Le groupe espère ainsi rendre plus simple et plus rapide le processus de paiement, en réduisant notamment les temps de contrôle. Les ocnsommateurs pourront effectuer leurs règlements en passant leur carte de crédit devant un lecteur RFID à une distance d'au moins 4 pouces.

• Exemples d'utilisation de la puce RFID

pour les bijoux de valeur, en cas de vol

dans les dinettes pour enfants

dans les cartons ou palettes pour les flux de marchandises

Cette revue de presse a été réalisée avec l'aide de différents articles, cités ci-dessous. Pour lire l'intégralité des articles, cliquez sur les liens qui ovus intéressent:

- la RFID à la veille de son développement industriel (22/02/2006)

- Espoirs et appréhensions autour de la RFID (30/11/2005)

- Les capacités réseaux des entreprises sous le poids de la RFID (16/03/2005)

- Visa se dote d'une carte de paiement RFID (01/03/2005)

Revue de presse réalisée par

Ronan LEVESQUE [email protected]
Mathieu MONTEREAI [email protected]
Sophie MORIN [email protected]

e- grande distribution

Conférence des étudiants lors du cours d'e-transformation.

Comment la grande distribution a-t-elle intégré les TIC dans l'e-transformation de ses process ?

50 slides, très bonne conférence !

Download confrencefinalev3etransfo.pps

(la note n'est pas encore publique ;-)

netvince

Thomas SEVEGE interview

netvince : Bonjour Thomas, content de te retrouver, alors que fais tu aujourd’hui ?

Thomas SEVEGE : Bonjour Vincent – Après mon année dans le 3ele cycle MCI j’ai quasi-immédiatement rejoint TradeDoubler, acteur majeur du performance marketing en Europe et aujourd’hui leader de l’affiliation France.

J’y occupe le poste de DG France depuis 3 ans, après avoir fait mes armes comme Directeur de Clientèle.

netvince : En quoi consiste excatement l’affiliation et comment se positionne tradedoubler ?

Thomas SEVEGE : TradeDoubler se positionne comme un fournisseur de solutions en marketing online et en e-commerce.

L’affiliation est une composante aujourd’hui inévitable des différentes actions marketing qu’un annonceur peut mener sur le medium internet.

C’est est à la fois un canal de vente et de marketing relationnel permettant à un annonceur de financer ses actions marketing online selon un modèle économique basé sur les performances des campagnes. C'est-à-dire selon un coût par visiteur unique redirigé sur son site (ou coût par click), ou encore selon un coût par prospect recruté (lead), où enfin selon un commissionnement sur le chiffre d’affaires généré par l’Affilié, à savoir le site qui en amont a diffusé le message promotionnel de l’annonceur.

netvince : Je crois savoir que tu recrutes souvent des mci ;-) ?

Thomas SEVEGE : C’est vrai, et je suis bien placé pour connaître l’étendue de leur connaissance après ce 3ème cycle.

L’enjeu pour les entreprises (grands media, annonceurs, agences ou prestataires) qui recrutent en ce moment est de doter leurs équipes de compétences transversales sur les différents métiers du marketing en ligne et du e-commerce.

Certains profils MCI s’avèrent très spécialisés dans certains domaines (liens sponsorisés, affiliation, email marketing) et rejoignent en général des pôles affinitaires au sein de ces entreprises.

D’autres profils, plus généralistes, seront par exemple à même d’accompagner un annonceur sur la palette complète des métiers du marketing online, avec un discours que l’expérience affinera au fil des années.

En ce qui me concerne, je me souviens avoir bassiné toute ma promo avec le concept de l’affiliation en 2001, mon parcours s’avère donc assez logique.

D’autres ont rejoint TradeDoubler par la suite (Karine Maignan, Julien Fredonie, Charles Bourasset (depuis Dirrecteur Marketing de PrinceRunner) Julien Bosselut, Remy Marchesin, etc)

Les entretiens d’embauche avec les étudiants MCI en général portent plus sur leurs motivations personnelles que sur leurs compétences, puisque une fois de plus je connais le programme MCI, donc pas de surprises !

netvince :  Quel était ton parcours avant MCI ?

Thomas SEVEGE : Je suis diplômé de l’ESG et j’ai rejoint le 3eme cycle MCI immédiatement après.

netvince : Quel serait le meilleur souvenir de ton passage au 3eme cycle ?

Thomas SEVEGE : Les relations que j’ai pu garder avec quelques potes, mais également avec des intervenants, comme Yann Breban ou Bruno Florence par exemple, avec qui j’entretiens encore un contact régulier.

netvince : Tu es maintenant le Professeur d’Affiliation pour les nouvelles promo, est il vrai que tu avais eu une mauvaise note en affiliation à l’époque ?  lol

Thomas SEVEGE : Oui j’ai eu 8/20 (dernier de la classe), en même temps ça me ressemble un peu ce genre de paradoxes

Très simplement, je viens depuis 4 ans passer quelques heures avec les étudiants pour partager mon expérience, ce que je vois, et ce qui va leur être nécessaire pour appréhender leurs fonctions à venir sur ce marché du online.

L’affiliation est bien évidemment le fil rouge du cours, mais nous parlons plus généralement de performance marketing (liens sponso, campagnes publicitaires, moteurs de shopping, et affiliation bien entendu)

netvince : Plus sérieusement, quel est d’après toi  la tendance significative dans les processus e-business des 12 prochains mois ?

Thomas SEVEGE : Du boulot, encore du boulot, toujours plus de boulot.

Je crois qu’il y a en ce moment plus de postes à pourvoir que de profils compétents. C’est une belle perspective pour les promos MCI à venir, d’autant que d’autres sociétés prestigieuses (comme Kelkoo par exemple) portent un intérêt particulier aux étudiants MCI pour les même raisons que nous (évoquées plus haut).

netvince : Merci beaucoup Thomas, ah juste encore deux questions, que penses tu du blog MCI ?

Thomas SEVEGE : Tout d’abord je trouve que c’est une excellente initiative qui s’inscrit dans la tendance actuelle, et par ailleurs je le trouve plutôt bien tenu ce qui n’enlève rien au plaisir de s’y rendre.

netvince : Et pour finir, quel est ton site préféré et pourquoi ?

Thomas SEVEGE : En termes de contenu pro je consulte neteco.com tous les jours, les journalistes y sont peu nombreux à l’inverse des articles, ce qui dénote d’une certaine passion à l’égard de ce qu’ils font  – j’aime bien ce positionnement un peu indépendant face à l’inévitable Journaldunet (que je consulte également tous les jours), et pour mes courses c’est chez CDiscount (efficace, pas cher… et proche partenaire de TradeDoubler ;-)

netvince : Merci encore, bon courage et si tu as des news a poster sur le blog n’hésite pas ;-)

Thomas SEVEGE :  M’CI beaucoup !

Interview Diane Revillard

   

1.   Quelle est votre fonction actuelle?

J’ai fondé  la société Di&mark, nous éditons en mode ASP, un logiciel de gestion d’enquêtes en ligne, construit à partir de briques logicielles libres.

2. Quel a été votre parcours professionnel ?

De double formation, Ingénieur et Gestionnaire, j’ai occupé différents postes dans les secteurs de l’informatique et de la communication numérique : technique, qualité, marketing stratégique. Mon dernier poste était en comité de direction, ayant occupé des fonctions transversales, j’ai décidé de quitter le monde du salariat pour fonder une société sur la convergence de l’informatique, de la communication numérique et de la relation client dont le socle est fondé sur l’Internet.

3. Quand est née votre passion pour Internet ?

J’ai commencé à utiliser l’Internet en 1995, principalement en explorant des sites américains, l’Internet Français était alors embryonnaire. De par ma formation d’Ingénieur, j’ai tout de suite était séduite par ce nouveau média et les immenses possibilités qu’il offrait alors et qui n’ont cessé de croître. A la même période, dans le secteur de l’informatique où je travaillais alors, nous commencions à nous intéresser à la solution GNU/Linux et à ses nouvelles façons de collaborer et de partager.

L’Internet représente un moyen exceptionnel de conduire des projets décentralisés sur des standards désormais ouverts et une évolution d’une grande partie du modèle des éditeurs de logiciels à terme.

4. Comment avez vous connu la formation MCI ?

J’ai lu un article sur le journal de net concernant la formation MCI et j’ai été totalement séduite par ce 3^ème cycle qui alliait l’Internet et le Marketing.

5. Qu’est ce qui vous a donné envie d’enseigner au 3^ème cycle MCI ?

Transmettre mon expérience, en discuter avec des personnes qui partagent la même passion, est nécessairement profitable pour tous. La convergence de l’Internet et du Marketing m’a totalement séduite. Le 3^ème cycle MCI est incontestablement très porteur au niveau des opportunités de carrière pour le futur.

6. Comment voyez vous l’avenir de l’ebusiness ?

L’ebusiness va de plus en plus se banaliser, aujourd’hui l’Internet est utilisé par la majeure  partie des catégories socio-professionnelles. Le déploiement des réseaux haut débit va encore accélérer cette tendance. Les prochaines années sont celles de l’Internet Mobile. Nous sommes dans une économie offrant de plus en plus de biens immatériels qui sont en parfaite adéquation avec le réseau des réseaux. Le développement de l’e-ubsiness est irrémédiable.

7. Qu’est ce qui vous intéresse le plus dans le monde Internet ?

L’Internet est le monde de l’innovation, du partage, il représente l’économie du savoir. Aujourd’hui, on peut entreprendre et se développer rapidement si l’on est créatif. L’Internet devient le socle de la communication numérique et de l’informatique. De nouvelles applications sont à définir, cette créativité est des plus stimulantes. Avec les métiers de l’Internet, on a la chance de travailler sur des thématiques passionnantes et totalement novatrices.

8. Internet a-t-il modifié votre comportement dans la vie de tous les jours ?

Internet a bien sûr modifié mes comportements professionnels et personnels. Je travaille en réseau avec des partenaires décentralisés sur le territoire national, Internet est notre moyen de communication et de partage de l’information. Internet abolit les frontières temporelles et spatiales. Aujourd’hui sans outil collaboratif, messagerie … cette collaboration serait quasiment impossible.

9. Faites vous des achats en ligne ?

J’achète des billets de train, des produits culturels, des fleurs …

10. Quels sont vos sites préférés ?

L’on ne saurait être exhaustif, tant le nombre de sites de qualité sur Internet sont nombreux. L’Internet est pour moi le monde du partage en premier lieu, je citerai donc : www.wikipedia.org, l’encyclopédie du monde libre. Un travail collaboratif qui est d’une qualité remarquable. Pour les sites d’information quotidien : www.journaldunet.com, www.silicon.fr …

11. Quels sont vos conseils pour que les étudiants de MCI réussissent leur carrière dans le monde de l’ebusiness ?

Qu’ils trouvent un emploi qui les passionnent : c’est la meilleure réussite pour une carrière professionnelle. Les métiers de l’Internet et du Marketing offrent cette spécificité, ils sauront la saisir.

Réalisé par

Chams Ejjaouani: [email protected]

Delphine Fava: [email protected]

Fabien Vandecandelaere: [email protected]

Interview de Fredéric Cavazza

Bonjour Frédéric, vous êtes consultant chez SQLI Agency et bloggeur sur www.fredcavazza.net

Comment définiriez-vous en quelques mots le concept du web 2.0 ?

Le web 2.0 est une évolution du web dans 2 directions :
- la dimension collaborative (où les utilisateurs sont également auteurs via les blogs, wikis ,commentaires, avis…)
- la dimension « application en ligne » où les services en ligne sont de plus en plus performant (en terme de productivité, de richesse fonctionnelle, d’interopérabilité…), tellement performant qu’ils rentrent en compétition avec des applications classiques.

Quelles pourraient être les applications futures que les grands manitous du web (Google, Microsoft et consorts) seraient amenés à développer sous les principes du web 2.0 ?

- La gestion de la réputation en ligne : à l’image de ce que fait eBay mais dans un cadre d’interopérabilité, c’est à dire un système de réputation qui soit partagé par différents services.
- L’identification unique : c’était le grand fantasme de Microsoft avec son Passeport, peut-être que Yahoo! ou Google y arriveront s’ils arrivent à déployer suffisament de services (par exemple les comptes FlickR et del.icio.us vont bientôt tous migrer vers un identifiant Yahoo!)

N’existe-t-il pas un danger pour la vie privée de l’internaute ? (Récupération d’infos personnelles, constitutions de profils...)

Non, les internautes sont des adultes consentants. A partir du moment où ils acceptent les conditions générales d’un service, ils savent à quoi s’en tenir. Les opérateurs (Yahoo, Google…) ayant la politique de protection de la vie privée la plus transparente et la moins intrusive ressortiront forcement du lot.

L’intelligence collective est intéressante dans de nombreux domaines. Cependant, quelles sont les limites de cette participation collaborative (baisse de qualité de l’information, fausses informations, récupération commerciale…) ?

Il y a effectivement une limite à l’auto-modération. Les exemples récent de Wikipedia sont là pour nous le montrer (où on constate d’ailleurs une dérive marchande évidente dans les différents articles). Mais bon la question de fond est la suivante : Est-ce que l’intelligence collective doit être nécessairement désabusée ? Pourquoi ne pas envisager par exemple des places de marché collectives et participatives ? Des projets comme Zlio ou Squidoo ouvrent la voie dans ce sens.

Serait il envisageable et/ou utile de limiter les applications du web 2.0 dans certains domaines (le droit, la politique, la pornographie) ?

Non, aucun intérêt. Tous les métiers peuvent bénéficier des principes du web 2.0.

A ce sujet j’ai entendu parler d’une version collaborative de la constitution européenne sous forme d’un wiki citoyen multilingue. Sympa, non ?

A quand un FlickR ou un DailyMotion dédié à du contenu pornographique mais avec une logique marchande (forfait de consultation mensuelle, paiement à l’unité et rémunération des auteurs qui publie du contenu) ?

A votre avis le français est-il un bon client du web 2.0 ?

Oui et non :
- Oui parce que les français aiment bien l’ouvrir (cf. le phénomène des Skyblog)
- non, parce qu’il y a une résistance très forte au changement en France.

Propos recueillis par Renaud Biet et Nicolas Peigner.

Stephane Carpentier Interview

Bonjour Stéphane,

1/ Pouvez-vous nous décrire brièvement votre parcours professionnel ?

Diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce d’Amiens en 2000, je me suis associé à Bertrand Bathelot afin de créer la société ABC Netmarketing, société spécialisée dans la formation et la création de contenus relatifs au marketing interactif (tous les dossiers et articles sont d’ailleurs accessibles directement en ligne sur le site abc-netmarketing

2/ Pouvez-vous nous expliquer en détail votre métier et les responsabilités associées ?

J’occupe le poste de gérant de la société, mais comme nous sommes une très petite structure les missions qui se rapportent à cette fonction sont relativement exhaustives : en dehors de la gestion proprement dite, le métier principal reste celui de formateur : en effet le site ABC Netmarketing ne constitue « que » la vitrine de notre savoir-faire, le cœur de métier étant la transmission de ces contenus dans le cadre de formations qui peuvent être professionnelles (inter ou intra entreprises, salons professionnels…) ou scolaires (écoles de commerce, troisièmes cycles spécialisés…).

En plus de cette activité de formateur viennent se greffer des fonctions de webmaster (rédaction de contenus et mises à jour hebdomadaires du site), d’animateur / modérateur de communauté (le site ABC Netmarketing compte plus de 20.000 abonnés à ses listes de diffusion), la rédaction d’ouvrages et d’études spécialisés, et parfois l’organisation d’évènements dédiés au marketing interactif.

3/ Qu’est ce qui vous a poussé à exercer ce métier ?

La création de la société en tant que telle est le fruit d’une rencontre avec la bonne personne au bon moment, mais le fait de travailler dans les nouvelles technologies est dû à la passion éprouvée pour ce secteur d’activité en constante évolution et progression depuis sa création.

Du coup le contenu des formations n’est jamais le même d’une année sur l’autre tant les technologies / acteurs / techniques marketing évoluent. De plus le fait d’être confronté en formation à des professionnels et étudiants ayant tous des expériences diverses et variées me permet de m’enrichir intellectuellement et de progresser continuellement, chose que je recherchais absolument en commençant à travailler : je ne voulais surtout pas tomber dans une certaine « routine » au bout de quelques années à exercer un seul et même métier, et je dois dire qu’à ce niveau là je suis comblé !

Propos recueillis par Sara Benacer et Sophie Cornet

A la suite de ce cours sur le Marketing viral, nous continuons dans le divertissement, et pour cela voici quelques videos.

Tout savoir sur le spam

L’origine du mot Spam

Les Monty Python ont une grande part de responsabilité dans le choix du mot Spam.

A l’origine, SPAM est une marque déposée en 1937 par Jey Hornel qui mit au point ce Spiced ham (jambon épicé) qui nourrit l’armée américaine pendant la seconde guerre mondiale.

Dans le sketch numéro 25 des Monty Python, l’action se passe dans un bar et les Monthy Python, déguisés en Viking, chantent une chanson dont la seule parole est Spam, cette chanson couvre les dialogues des autres protagonistes le concept du Spam est alors né !

Comment se prémunir face au spam ?

1- Etre très vigilant lorsque l’on communique son email sur Internet : il peut être collecté lorsque l’on communique sur un site web (espace de discussion, inscription à une newsletter, achats en ligne…)

2- Lorsque l’on saisit ses coordonnées dans un formulaire, s’assurer que les mentions d’informations (droit d’accès de rectification et d’opposition des données) précisent l’utilisation qui pourra être faite de notre email.

3- Créez des adresses de messagerie dédiées pour l’achat sur Internet, à la communication dans les espaces publics et à l'inscription à des lettres d’information.

4- Protégez votre anonymat :lorsque vous participez à des forums de discussion ou si vous utilisez des logiciels de messageries instantanées en utilisant un pseudonyme.

5- Ne rendez pas visibles les adresses de messagerie de vos correspondants lorsque l’on crée un groupe ou une liste de diffusion, de la même façon lorsque vous transfère un email avec la fonctionnalité "copie cachée".

6- Utilisez un filtre de spam. L’utilisation des fonctions de filtrage proposées le plus souvent par les logiciels de messagerie permet de filtrer une partie des envois non sollicités.

(source : http://www.cnil.fr)

Les internautes français disent NON au spam !

Une étude commanditée par AOL révèle l'étendue du spam en France et l'urgence des actions à mener :

Le constat est sans appel :

90% des internautes français reçoivent des spams (et même 71% en reçoivent presque tous les jours) 51% des internautes qualifient le spam de danger et de fléau.

Au rang des premières urgences : informer

82% des internautes français attendent d'être mieux informés sur le spam (Le spam est là, pourtant 57% des interrogés avouent méconnaître le terme

 Il est temps d'agir :

88 % des internautes sont prêts à agir contre le spam. A 46%, les internautes attendent des moyens de protection de la part de leur fournisseur d'accès à Internet ou fournisseur de messagerie électronique.

 Que justice soit faîte !

77% des internautes sont favorables à la condamnation en justice de spammeurs. En effet, 22% des internautes pensent que les pouvoirs publics ont également un rôle à jouer dans la lutte anti-spam en facilitant la poursuite en justice de spammeurs.

(source : http://www.aol.fr/presse/etude_spam.htm)

 

MSN et Laposte.net font cause commune contre le spam

MSN et Laposte.net ont décidé de s’assembler pour lutter contre le spam. En effet, à la suite d’une campagne massive de spam entre des adresses MSN et la Poste.net, ces deux acteurs ont décidé de bloquer les échanges d’emails provenant de leurs clients.

Pour couper court à ce blocage qui pénalisait lourdement leurs internautes, ils ont décidé de mettre en place un atelier de travail commun et envisageraient même de mener des actions en justice commune contre les spammeurs.

(Source : www.01net.com/article/303422.html)

Réalisés par

Chams EJJAOUANI : [email protected]

Delphine FAVA: [email protected]

Fabien VANDECANDELAERE: [email protected]

 

La téléphonie sur Internet éclaircit la qualité de sa voix

France Télécom lancera au printemps prochain son nouveau service de Téléphonie sur Internet (ToIp), pourvu d'un son haute qualité. Ce service sera fourni en option au service Téléphonie illimitée de Wanadoo (LiveBox), et le son haute qualité nécessitera un téléphone spécial vendu entre 60 et 100 euros avec son câble USB.

En effet, la téléphonie sur Ip souffre aujourd'hui d'une très mauvaise qualité du son, entraînant parfois des coupures, des échos, des bruits métalliques et bien d'autres inconvénients encore. Ceci dit, Ip-Label , spécialiste de la supervision internet et intranet, remarque depuis les 10 derniers mois une amélioration de la qualité de service fournie par les FAI.

Pour ce nouveau service, France Télécom utilise la technologie Wide Band (voir l'article de 01.net au sujet de Wide Band) , qui permet de mieux restituer les sons aigus et graves.

Pour retrouver l'article original, cliquez ici.

Sophie MORIN

       

REVUE DE PRESSE: le Web 2.0

Sous cette appellation ne se cache pas une nouvelle toile, mais une intelligence collective sur le web, à travers une dimension collaborative . L’internet n’est plus conçu comme un média, mais comme une véritable plate-forme entre les utilisateurs. Le web 2.0 ne représente pas la fin du web actuel, c’est tout simplement une photographie du web tel qu’il existe à l’heure actuelle. Pour l’instant, force est de constater que les grands médias ne se sont pas encore penchés sur le sujet ; l’effervescence est en revanche très présente chez nos amis bloggers, notamment chez ceux maniant la langue de shakespeare.

What is Web 2.0 ? Tim O'reilly , Tim o'reilly.com, Septembre 2005

Tim O'reilly est le premier à avoir parlé du web 2.0. Cet article en anglais, écrit de sa main, donne donc les bases de ce qu'on entend par : Web 2.0. Si vous ne devez ne lire qu'un article sur le sujet c'est celui-ci. Mais mieux vaut avoir un peu de temps car il est...consistant. C'est cependant l'article le plus complet pour vous faire une opinion sur cette nouvelle appellation avant de rentrer dans le débat "effet de mode" vs "réelle mutation".

Lire l'article

Lire l'article en V.F

Web 2.0 : the marketing nightmare Mike Butcher , Netimperative, 18/01/2006

Monsieur Butcher nous donne ici son point de vue sur les implications du web 2.0 pour le marketing. Pour résumé cet article, son auteur estime que le bouche à oreille va prendre encore davantage d'ampleur grâce aux nouvelles applications du web dit web 2.0.

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Qu'est ce que le web 2.0 ? Hubert Guillaud, Internet Actu, 29/09/2005

Si cet article repose les bases du web 2.0, il pose surtout les bonnes questions à se poser face à ce mot "à la mode". A la mode justement ! c'est une des questions posées dans cet article; est ce un mot lâché pour faire fonctionner le buzz ou est-il fondé sur une vrai révolution? A qui est-il destiné, quelles implications sociales? Avec beaucoup de références à de nombreux spécialistes, cet article est à lire si vous savez ce qui se cache derrière le terme 2.0.

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Web 2.0 : mythe et réalité Eric van der Vlist, Dyomedea, 02/12/2005

Voici un article plus orienté technique mais qui n'oublie pas de re-présentées les bases de ce qu'est le web 2.0. A lire si l'aspect technique des applications favorisant le web 2.0 vous intéresse.

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SHS 2.0 Piotrr, homo-humericus.net, 13/09/2005

Le portailHomo-humericus.net a pour base line "Nouvelles technologies et société". C'est donc tout naturellement que l'on trouve sur le blog d'homo-humericus.net un article de Piotrr sur les conséquences des applications web 2.0 sur notre société.

Lire l'article

Web 2.0 : la révolution par les usages Frederic Cavazza, Journal du Net, 19/12/2005

Consultant chez SQLI Agency et bloggeur sur fredcavazza.net , frederic cavazza livre dans un article publié sur le journal du net sa vision du web 2.0 et des utilisations possibles de ces applications collaboratives.

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Nicolas Peigner
Renaud Biet